Le 29 janvier 1918. Chère Aline,
Deux mots pour te donner de mes bonnes nouvelles et toi, j’espère que tu vas mieux. Ici, il fait toujours un temps superbe. Aussi, nous sommes très fatigués de cette chaleur. Je ne vois pas grand chose à te dire. Tu donneras le bonjour à ta cousine Annie et la petite Aline. Bien des choses à ta mère. Ton amie qui t’embrasse bien fort de loin.
Alphonse