Le 22 août 1915.
Chère Grand-mère,
Je vous envoie deux mots pour vous donner de mes nouvelles qui sont très bonnes pour le moment et j’espère que ma petite carte vous trouve de même. Hier, j’ai reçu les nouvelles de Victorine ; elle est toujours en bonne santé. Je termine en vous embrassant de tout cœur. Votre petit-fils qui pense à vous toute la vie. Badouël Fernand.