Correspondances de poilus 1914-1918

Louis GAUDRAS – carte du 17 août 1915


Cercay, le 17 août 1915. Cher Joseph, J‘ai reçu ta petite carte qui m’a fait grand plaisir de te savoir en bonne santé ; quant à moi, ça va toujours. Je pense que le pays de Coulonges ne vaut pas celui de Cerçay. Il y a la petite bonne qu’Alphonse connait bien te souhaite le bonjour ainsi que Thérèse. J’espère qu’Alphonse va bien ainsi que Morel Emile. Mon cher Joseph, ne voyant plus rien à te dire, je termine ma carte en te serrant cordialement la main. Ton copain. Toute la famille te souhaite le bonjour. L. Gaudras