Le 31 décembre 1915. Ma chère grand mère,
Je ne t’ai pas écris depuis un moment mais j’ai de tes nouvelles par Eugène que tu as vu pour Noël. Quel dommage que la permission de Fernand ne se soit pas trouvée en même temps. Je croyais qu’il passerait à Paris à son retour sur le front mais il n’a pas su se débrouiller.
Ma chère grand mère je t’envoie mes meilleurs vœux et bons souhaits pour 1916. Je pense que ta santé est toujours bonne. Je t’embrasse de tout cœur. Victorine.
