
Décembre 1915. Cher Cousin, je vois que le premier jour de l’an approche, je m’empresse de vous offrir mes souhaits de bonne année et qu’elle nous soit plus favorable que celle qui vient de s’écouler et qu’elle nous ramène chacun chez soi. J’offre aussi mes souhaits à Eugène qui doit être avec la famille. Fernand Badouel.