Correspondances de poilus 1914-1918

Annexes

Documents divers, articles, généalogie, etc. ...

  • Statistiques historiques

    Le service militaire en 1914 En 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale, la durée du service militaire en France était de 3 ans. Cette durée avait été fixée par la loi des trois ans, adoptée en 1913, pour faire face aux tensions croissantes en Europe et pour rivaliser avec la puissance militaire de l’Allemagne, qui avait une armée considérable. Avant cette loi, la durée du service militaire en France était de 2 ans, depuis une réforme en 1905. Avec le déclenchement de la guerre en 1914, le service militaire devint de facto prolongé pour tous les hommes mobilisés, qui restèrent sous les drapeaux jusqu’à la fin du…

  • Paul MOLAC – Député

    Pays de Mauron. Un long travail de recherches sur les Poilus exposé par Paul MOLAC · 12 décembre 2024 ll y a un mois, jour pour jour, nous étions le 11 novembre, journée de commémoration de l’Armistice de 1918. En pays de Mauron, Alain Rogemont a profité de l’évènement pour présenter une exposition intitulées « Lettres de Poilus du Pays de Mauron » à la médiathèque communautaire. L’occasion de dévoiler de nombreux objets (douilles d’obus…) et documents (lettres, cartes postales…) qui témoignent de ce que fut la Première Guerre mondiale en pays de Mauron. Cet habitant de Ponts-de-Cé, dans le Maine-et-Loire, s’est lancé dans les recherches par souci du devoir de mémoire. Son lien avec…

  • Le Livre d’or

    Bravo à vous Alain et Gérard pour votre travail de recherches sur nos ancêtres de Saint-Brieuc-de-Mauron. Je suis heureuse d’avoir participé, nos jeunes qui n’avaient rien demandé méritent le respect. Nous leur devons notre liberté et le devoir de mémoire. Merci à vous. Solange GAUDIN (Saint-Brieuc-de-Mauron – les 5 & 9 novembre 2024) Exposition très riche en événements sur les conditions de vie des Poilus. Marylène et Guillaume BOURY (Mauron – 16 novembre 2024) Seulement 5 jours après le 11… Alors que les conflits parcourent le monde et notre Europe… Qu’en penser ? Être et dire, voir écrire notre hostilité doit être notre contribution contre ces conflits dévastateurs ! Le…

  • Le suicide Européen

    Le 28 juillet 1914, à la suite de l’attentat de Sarajevo, l’empire d’Autriche-Hongrie déclare la guerre à la Serbie. En août 1914, la Serbie inflige une défaite sévère à l’empire d’Autriche-Hongrie et malgré un renforcement de ses troupes, les Austro-Hongrois subissent une nouvelle humiliation militaire en décembre 1914 avec plus de 30.000 morts. Il s’en suit une série de décisions aussi folles les unes que les autres qui scellera le sort de millions de soldats, de leur famille et de l’Europe pour les 4 années suivantes. L’historique des déclarations de guerre est effrayant ! •1er août 1914 : l’Empire Allemand déclare la guerre à l’Empire russe. •3 août 1914 : l’Empire allemand déclare…

  • Livre d’Or

    Dominique GELLUSSEAU, le 1er février 2024 : Rapide coup d’œil sur ton site plein de promesses et en tous cas beau travail ! Solange GAUDIN, le 18 février 2024 : Bonsoir Alain et Gérard, j’ai jeté un coup d’œil sur le site, vite fait sur le site « Très bien » Denise DERRIEN, le 24 février 2024 : Merci encore pour ce travail de mémoire que vous effectuez pour préserver un devoir de transmission aux plus jeunes, d’autant plus important que la guerre dans toute son horreur est à nouveau à notre porte. L’article paru dans le Ouest France du 21 Février relatif au travail remarquable qu’Alain Rogemont a réalisé. Yvette FICHET, le…

  • Ses poèmes

    Eugène PAMBOUC écrivit de nombreux poèmes durant les quelques mois qu’il a passé au front, il écrivait aussi souvent à sa famille. Ayant obtenu son certificat d’études à 12 ans, j’ai remarqué, en transcrivant ses correspondances qu’il ne faisait aucune faute d’orthographe. Ô noble discipline, il fallait obéir Et je les écoutais, refaire leurs tranchéesQue le soixante-quinze avait bouleverséPendant l’après-midi par un bel arrosageEt lorsqu’une fusée montait dans le ciel sageJe voyais devant moi, peut-être à trente mètresHuit ou dix formes qui me révélaient les êtresLâches, sournois, cruels dont je me méfiais…Ils étaient dix alors, les x trois que je voyaisQuand j’avais dit « Faut-il tirer, mon Lieutenant ? »Mes dents s’entrechoquaient,…